Le vol en immersion permet de visualiser la vue captée par un appareil volant, comme notre drone Aube. Cependant tous les drones ne se valent pas en termes de captations, de trajectoires et de restitutions vidéos.

Un vol immersif et naturel

En premier lieu, on pourrait penser que la technologie du drone prime, toutefois pour vivre pleinement le vol en immersion proposé il faut considérer le trajet et le mouvement dans lequel vous serez emporté. Nous parlons bien de sensations et d’émotions, de la façon dont va être ressenti l’expérience. Les drones multirotor disposent d’hélices motorisées qui compensent constamment leur déséquilibre et produisent par conséquent des mouvements secs, mécaniques, propre à leur moyen de propulsion. Le drone Aube lui vole à l’aide d’une voile de parapente, ce qui lui donne l’avantage de pouvoir restituer un vol naturel dans l’air, à la façon d’un parapentiste ou d’un oiseau. L’émotion produite est particulièrement convaincante, nous n’avons pas la sensation d’être à bord d’un appareil mais bien celle d’être le sujet qui vole.

De la technologie au service de l’immersion

Afin de plonger dans un univers et pour qu’il deviennent parfaitement immersif, il est essentiel de disposer de technologies capables de capter et de restituer fidèlement le contexte initial. Les technologies de réalité virtuelles 3D sont complexes et gourmandes en ressources, aussi des calculateurs puissants seront vivement sollicités pour avoir un rendu convaincant. La qualité de la transmission est également essentielle puisqu’elle va restituer en temps réel les images captées par la caméra du drone et ce quelque soit sa position, sa trajectoire et sa distance. Tous ces aspects techniques ne sont qu’un appui et même si ils ont une part importante, il doivent se faire discret, voire se faire totalement oublier pour que le participant puisse être réceptif au périple qui s’annonce.

 

Une histoire à raconter

Lorsqu’une personne prend place pour une session de FPV (« First Person View » en anglais) en réalité virtuelle, il ne vient pas pour voir une démonstration technique mais pour vivre une expérience écrite, réalisée, pensée pour l’instant qui lui est proposé. Une fois équipée, léger de préférence, l’immersion débute dans un environnement sonore, visuel et sensible, avec l’ajout d’éléments externes comme de l’eau pour la pluie ou du vent produit par les pales d’une hélice.
Une fois dans les conditions appropriées, le spectateur peut s’abandonner au récit narré et se laisser porter par la vision captée initialement par le drone Aube.

Voir, observer pour comprendre l’environnement

Il est temps de porter son regard sur les cotés, puis en bas, en haut, à 360 ° tout autour de soi et d’observer l’environnement pour en découvrir les détails, en percevoir les subtilités et les mystères.
Ayant accès à un point de vue exceptionnel et autrement inaccessible, il est tout à fait possible d’y adjoindre des mesures thermiques, métriques, scientifiques… et de les faire apparaitre en surimpression pour accéder à des informations en réalité augmentée. Enrichi de contenus éducatifs, une séance de réalité virtuelle peut prendre une dimension culturelle particulièrement riche en émotion mais aussi apporter des éléments culturels, scientifiques, et tout ce qui peut donner en complément d’information.